Artiste Photographe nature et arbres basée à Montréal

  • Publications
    • Livres D’artiste
      • Le livre de nos grands-mères (collectif Feuille déchirée) / 2024
      • Brèves d’ailleurs / 2022
      • Journal de neige / 2018
      • Plonger dans la marche / 2017
      • Mon père ce Hongrois / 2015-2018
    • Participations
      • Balado “Cuisine ton quartier” / 2021
      • Chapitre pour “L’émersivité du corps en alerte” / 2020
      • Photographies pour le recueil de poésie Interconnecté.e.s / 2020
  • Arts visuels
    • Photographies
      • Peaux / en cours
        • Peaux (glace) / 2021
        • Peaux(Qc) / 2020
        • Peaux (Japon) / 2016
        • Peaux II / 2015
        • Peaux / 2014
      • Dancing being / 2017
      • Songe I / 2017
      • Là où nous pensons être / 2015
      • Living being / 2014
      • Reportage / Cirque / 2012-2017
        • Yoshida / 2016
        • Sakura o mite, nihonjin o mite / 2016
        • Chez la Cie Bicepsuelle / 2013
        • Chez la Cie Marche ou Rêve / 2013
        • À la maison / 2013
        • L’air de rien, 2012
    • Expeditions / 2016 – 2021
    • Livres exposés
      • Mon père ce hongrois / 2019
      • Plonger dans la marche / 2018
    • Vidéo
      • Batir des ponts / 2021 / 2023 / 2024
      • Lignine / 2021
      • Feuilles voisines / 2020
      • White Chaos – clip vidéo / 2016
  • Art vivant
    • Collectif Feuille déchirée
      • Avant que la dernière feuille ne tombe / 2019 – en cours
      • Le livre de nos grands-mères / 2024
    • Livres dansés
      • Mon père ce Hongrois / 2019
      • Interoception [Plonger dans la marche] / 2018
    • Créations
      • Duo de trapèze-danse / 2019
      • Le bal des fossiles / 2019
    • Participation / interprète
      • Comédienne, Après le silence / 2021
      • Événement sortie d’album de N0rth “Rusty Queendom” / 2019
      • La canopée / 2019
  • Photographie événementielle
  • Artiste interdisciplinaire
canopée

Une proposition chorégraphique de Catherine Lavoie-Marcus

La canopée / 2019

Performance dans le cadre de la rétrospective Françoise Sullivan au Musée d’art contemporain de Montréal

9 et 10 janvier: 19h à 20h

Nous sommes un feuillage imprévisible. La vie des cimes qui ont l’espoir comme forme. Un essor permanent destiné aux jours clairs comme aux jours sombres.
Nous bougeons sans permission. Nous sommes le rappel de ce qui nous tient quand nous ne tenons plus à rien.

“La canopée” est une partition ouverte, une chorégraphie développée comme un langage dont chacun est libre de choisir la note qu’il souhaite faire résonner, en relation avec celles jouées par le groupe. Un orchestre visuel dont le dénouement est une “Canopée furieuse”, une figure lors de laquelle le groupe s’engage à jeter au ciel tous les papiers de soie présents sur la scène. Exercice insoutenable, fatal, dont l’issue est inexorable : les papiers se déchirent et l’impossibilité de la tâche se fait de plus en plus écrasante. Métaphore puissante d’une vie en société, par cet exercice nous incarnons l’entropie et avons l’occasion d’observer les stratégies survivalistes de chacun. Retrait, acharnement, coopération, sacrifice ou indépendance, le processus n’est jamais le même, le processus est vivant.

Une proposition chorégraphique de Catherine Lavoie-Marcus créée en collaboration avec: Maude Blanchette-Lafrance, Olivier Boucher, Vincent Brault, Simon Cardin, Émilie Cardu-Beauquier, Kim-Sanh Châu, Corinne Crane, Heather Croft, Jean-Marc Deschamps, Catherine Duchesneau, Geneviève Dauphin-Johnson, Ariane Dubé-Lavigne, Laura Donohue, Michel F. Côté, Anne-Julie Falcon, Annie-Joëlle Fortin, Anne Gauthier, Estelle Grandbois-Bernard, Camille Havas, Charlotte Horny, Miori Lacerte, Vanessa Landry, Anne Lardeux, Arkadi Lavoie-Lachapelle, Marna Mars, Katya Montaignac, Téo Montaignac, Tim Powell, Morena Prats, Anick Saint-Louis, Alanna Thain, Camille Trudelle, Audrey Wells, Sonja Zlatanova.

Conception musicale: Michel F. Côté, Mars à la harpe et les performeur.euse.s aux sons divers.
Soutien artistique: Corinne Crane
Textes: Créés en direct par les performeur.euse.s en dialogue avec « La Danse et l’espoir » de Françoise Sullivan (1948)

Cette création a bénéficié d’une résidence au Centre Chorégraphique O’ Vertigo.

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