• Publications
    • Livres D’artiste
      • Mon père ce Hongrois / 2015-2018
      • Plonger dans la marche / 2017
      • Journal de neige / 2018
      • Brèves d’ailleurs / 2021
    • Participations
      • Chapitre pour “L’émersivité du corps en alerte” / 2020
      • Photographies pour le recueil de poésie Interconnecté.e.s / 2020
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      • Expeditions / 2016 – 2021
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    • Livres exposés
      • Plonger dans la marche / 2018
      • Mon père ce hongrois / 2019
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      • White Chaos – clip vidéo / 2016
      • Trapèze-forêt / 2020
      • Feuilles voisines / 2020
  • Art vivant
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      • Interoception [Plonger dans la marche] / 2018
      • Mon père ce Hongrois / 2019
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      • Duo de trapèze-danse / 2019
      • Le bal des fossiles / 2019
      • Avant que la dernière feuille ne tombe / 2019 – 2021
    • Participation / interprète
      • Événement sortie d’album de N0rth “Rusty Queendom” / 2019
      • La canopée / 2019
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Peaux (glace) / 2021 – en cours

Les glaciers présentent de nombreuses analogies avec la peau.

Si on l’on envisage la planète comme un être vivant, les modifications de l’albédo (indice de réfraction) du glacier jouent aussi ce rôle de thermorégulation qui est joué par la peau.

À une échelle plus locale, les glaciers représentent tout un réseau hydrologique formé de bédières et de moulins, qui rappellent la vascularisation de la peau

La peau est aussi le lieu de rencontre entre le monde et le corps, lieu du toucher et de la trace; Les glaciers portent l’enregistrement de l’histoire climatique de la terre. Ils gardent tracent mais comme la peau qui cicatrise et reste souple, leur surface est en perpétuel mouvement.

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